GEOLOCALISATION

Une réponse concrète aux réalités de terrain

Bungalows de chantier, engins non motorisés, groupes électrogènes, containers, remorques, matériels agricoles… Ces équipements, essentiels à l’activité, sont souvent stockés à l’extérieur, déplacés fréquemment, mais rarement suivis avec précision. Faute d’alimentation électrique ou de connectivité, leur localisation dépend encore trop souvent de la mémoire humaine ou d’un tableur.

La nouvelle balise autonome SuiviDeFlotte répond à ce manque, en apportant simplicité, autonomie et efficacité :

Aucun branchement nécessaire
Une autonomie de plusieurs années
Une intégration directe dans le portail SuiviDeFlotte

SuiviDeFlotte confirme avec ce lancement sa volonté de couvrir l’intégralité des actifs, qu’ils soient roulants, stationnaires, ou même saisonniers.

Chaque balise transmet des données de position régulièrement, permettant aux exploitants de savoir où se trouve chaque actif, et de détecter rapidement tout déplacement non autorisé ou oubli logistique.

Une solution simple à déployer, puissante à exploiter

La balise s’intègre à l’environnement habituel des clients SuiviDeFlotte. Elle bénéficie des mêmes outils d’analyse que les véhicules motorisés : cartographie, historique de déplacements, alertes, rapports de présence.

« C’est une extension naturelle de notre plateforme : tout ce qui bouge, roule, est stocké ou transporté peut désormais être tracé dans SuiviDeFlotte, même sans moteur ni batterie », explique Julien Rousseau, dirigeant de SuiviDeFlotte.

Une offre ouverte aux chantiers, collectivités, industriels

Les premiers déploiements ont déjà eu lieu dans des entreprises du BTP, des exploitants agricoles et des services techniques de collectivités, séduits par la fiabilité, le prix et la rapidité de mise en œuvre de la solution.

Deux versions pour couvrir tous les besoins

Version sans alimentation : conçue pour les équipements totalement passifs, avec un abonnement à partir de 4,90 € HT/mois.
Version avec alimentation : pour les matériels équipés d’une source d’énergie intermittente, à partir de 14,90 € HT/mois.

2 BR Mobilité utilise la plateforme de télématique embarquée AXODEL pour sa flotte de plus de 2 500 véhicules dédiés au transport des personnes handicapées. Une économie substantielle sur les frais de carburant, le poste amendes et les vols, a été constatée dès les premiers mois de mise en service. § Jean-Charles HOUYVET, directeur de la flotte du groupe 2 BR Mobilité, témoigne.

2 BR Mobilité, 20 ans d’expertise dans le transport adapté

Avec sa flotte de plus de 2 500 véhicules et ses 2 500 chauffeurs spécialisés, le groupe 2 BR Mobilité, à travers ses deux filiales opérationnelles JL International (JLI) et ST2S, transporte plus de 6 000 personnes chaque jour sur des trajets réguliers ou ponctuels : transport scolaire, navettes aéroports et gares, déplacements professionnels ou loisirs. Son activité s’est étendue en 20 ans à tout le territoire national, avec un taux de croissance annuel de 10 à 20 %.

Une flotte de véhicules multimarques

Pour mériter son trophée d’Entreprise pionnière en équipements de sécurité, le groupe 2 BR Mobilité investit en permanence dans son parc de véhicules. La flotte comprend des véhicules légers et des minibus, standards et adaptés, fournis par 7 constructeurs majeurs dont Renault, PSA, Volkswagen et Toyota. On y trouve des Renault (Clio IV, Captur, Kangoo, Trafic, Master), Citroën (C4 Cactus, Berlingo, Jumpy, Jumper), Volkswagen (Caddy, Caravelle), Toyota (Yaris Hybrid), mais aussi Ford Transit, Fiat Ducato, Opel Movano, Mercedes Sprinter…

2 BR Mobilité garantit un transport qualitatif en s’appliquant des règles rigoureuses de rotation du parc : 12 mois pour les véhicules légers et les minibus, 36 mois pour les véhicules adaptés TPMR [1].

Gestion du kilométrage, contrôle et réparations, traitement des amendes : l’ensemble de ces tâches repose sur 4 personnes sous la houlette de Jean-Charles HOUYVET.

100% de la flotte automobile connectée sur AXODEL

Après une première tentative télématique, 2 BR Mobilité a affiné ses exigences, cherché une solution nouvelle sur le marché, rencontré et testé AXODEL en 2016 pour basculer l’ensemble de son parc de véhicules acquis depuis 2017 sur cette plateforme. AXODEL, partenaire historique de PSA sur la télématique embarquée, opérateur de la solution Free2move, a d’abord été testé à la rentrée scolaire 2016 à petite échelle avant que soit prise la décision de raccorder l’ensemble du parc toute marques confondues, un basculement qui sera achevé en 2018.

« Toute notre télématique embarquée est désormais gérée via la plateforme AXODEL. Cela permet d’avoir une seule source de données, c’est plus simple et plus efficace. Les équipes AXODEL ont été réactives pour nous accompagner tout au long de la gestion de ce projet », commente Jean-Charles HOUYVET, directeur du parc automobile.

M. HOUYVET peut mesurer, quelques mois après, les bénéfices de la solution sur ses coûts d’exploitation : « Nous sommes très satisfaits de la solution ! Concrètement, la remontée automatique du kilométrage réel par véhicule, permet de programmer au plus juste les opérations de maintenance, et de comparer la consommation de carburant par véhicule avec les feuilles de route pour le contrôle budgétaire», explique-t-il. « La géolocalisation nous a permis de retrouver immédiatement les véhicules volés et de déclencher des interventions de police efficaces. Elle nous autorise aussi à contester de plus en plus d’amendes reçues sans raison ces derniers mois, et cela de façon imparable quand on peut prouver que le véhicule verbalisé n’était pas sur zone, grâce aux relevés télématiques…»

Les bénéfices ne s’arrêtent pas là car les capacités d’innovation des équipes de développement chez AXODEL, permettent d’envisager de nouveaux services différenciateurs, notamment autour du suivi des trajets.

Samuel VALS, Directeur Opérationnel de AXODEL, ajoute : « Le kilométrage, c’est l’alpha et l’oméga de la gestion de flotte ! Au moment de la restitution comme pour la maintenance. La télématique optimise le parc avec un système évitant des informations déclaratives de la part des salariés, souvent faussées. »

Encadré : La technologie AXODEL

Dans un système télématique, il y a 2 sources de données. La première, ce sont les informations issues du boîtier. En effet, la quasi-totalité des boîtiers génèrent des données issues de leurs propres capteurs, comme par exemple une antenne GPS. Ces données sont envoyées à la plateforme AXODEL qui en tire par exemple des comportements d’éco-conduite ou une géolocalisation. Ce type de données existe depuis longtemps et est assez limité.

Ce qu’AXODEL a apporté grâce à sa stratégie originale de partenariat avec les constructeurs, c’est la collecte des données issues directement des capteurs du véhicule, celles analysées et décodées par l’ordinateur de bord (kilométrage, consommation, alertes maintenance, etc.). Dans un système non connecté, ces informations ne sont accessibles qu’au conducteur. La plateforme AXODEL récupère ces données et les met à disposition du gestionnaire de parc.

A propos du groupe 2 BR Mobilité

Acteur majeur du secteur du transport depuis plus de 20 ans, 2 BR Mobilité s’appuie sur ses deux filiales opérationnelles, JL International et ST2S, une flotte de plus de 2 500 véhicules et délivre ses prestations au niveau national au plus près de ses clients. Le groupe transporte au quotidien plus de 6 000 personnes sur l’ensemble du territoire français.

2 BR Mobilité est basé à Vert Saint-Denis (77) et offre ses prestations dans 65 départements de France métropolitaine.

Pour en savoir plus : http://www.jlinternational.fr/site/

[1] Véhicule adapté afin de permettre à des personnes en fauteuil roulant d’y entrer et de voyager en sécurité tout en restant dans leur fauteuil.

Pas 50, pas 20, pas 15… 12 euros … Qui dit mieux ? 8 euros par mois et par véhicule, sans engagement… J’ai entendu ça, là-bas au fond ! Jusqu’où les loyers vont-ils baisser dans la géolocalisation des flottes de véhicules ? Qu’est-ce-qui pousse les nouveaux entrants sur le marché à baisser les coûts, à détruire les modèles qui ont permis de construire des offres de qualité… A cette course-là, les plus petits sont en général les plus agressifs, et mais aussi les plus fragiles. On l’a constaté avec les quelques défaillances retentissantes des derniers mois. Jusqu’où iront ces apprentis sorciers ? Lorsque l’on a, comme moi, connu les premières offres commerciales avec des liaisons data point à point… du CSD !, on constate le chemin parcouru, techniquement, sociologiquement, mais aussi économiquement dans la géolocalisation.

Par Philippe ORVAIN, Président de Nomadic Solutions

Co-fondateur de Nomadic Solutions en 2003, Philippe Orvain apporte une expertise confirmée dans le domaine de l’informatique embarquée. Après avoir été le directeur commercial de MCM, société spécialisée dans l’informatique embarquée de 1999 à 2001, Philippe Orvain est devenu le directeur du développement et marketing de la société COREDIL primée par le Ministère de la Recherche. Il représente les PME au Bureau du Pôle de Compétitivité Advancity. Auparavant Philippe Orvain, évoluait dans le domaine de la construction mécanique. Doté d’une licence d’informatique graphique, il a démarré sa carrière comme dessinateur–projeteur. Puis il a consacré 10 ans à la société qu’il a créée, Polydiffusion éditrice d’un logiciel de dessin assisté par ordinateur.

Petit flashback et réflexions personnelles sur l’avenir de la géolocalisation indoor

Techniquement, vers la fin des années 90- 2000, les soucis techniques ont été légion, et sans vouloir faire de peine à ceux qui ont survécu, les matériels et les logiciels n’étaient pas des plus fiables. A ce jour, à l’exception de quelques fabricants main land china dont les boîtiers ne sont pas passés par les fourches caudines de la normalisation européenne, la grande majorité des boitiers du marché fonctionnent plutôt bien… Même si certains sont plus stables que d’autres.
Au niveau des fonctionnalités, les boitiers de géolocalisation ont bénéficié de l’avènement des smartphones, qui ont apporté un lot de bijoux technologiques à des prix abordables. Ainsi, les modules combinés GSM/GPS, les accéléromètres, la techno RFID, les écrans tactiles sont autant d’items qui rentrent aujourd’hui dans leur composition. Une multiplicité des pièces de puzzle qui permet d’adapter des solutions on board verticales à chaque famille d’activités (ambulances, véhicules de techniciens, ramassage de déchets, transport routier de marchandises…), et aussi de développer des fonctionnalités transverses comme l’écoconduite.

Le volet sociétal est aussi amusant à caresser à rebrousse-poil… Dans les années 98/2000, les premières solutions de géolocalisation ont trouvé preneuses chez les transporteurs qui gagnent leur vie avec le temps de roulage. Puis, les gestionnaires d’équipes de terrain y sont venus, eux font leur bénéfice quand les véhicules sont arrêtés.
La course en avant a pourtant été freinée par l’aspect social. Beaucoup d’exploitants, de régulateurs ou de chefs d’équipes mobiles, n’ont pas intégré ce nouvel outil convenablement. Ils ne l’ont pas pris comme une aide à la rationalisation dans la gestion de la mobilité des personnels (optimisation des kilomètres parcourus et des temps de trajet, économie de fatigue des conducteurs). Non, le plus souvent, les encadrants ont intégré la géolocalisation comme un moyen de surveillance et quelques expériences désastreuses ont marqué les débuts de l’implantation de la géolocalisation dans certaines entreprises françaises. A cause de ces malentendus, la progression du marché, malgré des prévisions d’année en année de plus en plus mirifiques, a été assez lente en comparaison d’autres secteurs des NTIC…

Les campagnes marketing et la couverture médiatique alimentée par l’intérêt réel des journalistes pour les nouveautés technologiques, ont incité de nombreux affairistes subodorant la poule aux œufs d’or à se ruer sur ce marché avec des serveurs montés à la va-vite. Pour prendre des parts de marché rapidement, ces vilains petits canards ont cassé les modèles économiques, et proposé des services plus ou moins bancales qui ont contribué à décrédibiliser la profession, et à ralentir la progression de l’équipement .des flottes d’entreprises.

Mais aujourd’hui, le marché est relativement épuré et mature, avec beaucoup de renouvellement. Le flicage n’est plus un sujet depuis que chacun renvoie ses XY instantanés sur sa page facebook.

Si l’on ausculte enfin le coté économique, une ombre plane cependant : la baisse continuelle des prix du service qui fragilise les fournisseurs. Chez les décideurs, la culture du prix facial a occulté la notion de coût réel. Le service, la qualité des produits, la stabilité des équipes sont devenus des critères de choix mineurs, seul compte le prix. C’est malheureusement le cas dans bien d’autres domaines d’activités, la politique marketing « supermarché » est en train d’avoir raison du bon sens industriel !

Pour compenser ces baisses de marges, un nouveau marché s’ouvre aujourd’hui, complémentaire à la géolocalisation GPS, il s’agit de la géolocalisation Indoor. Cette géolocalisation intra-muros requiert l’installation d’infrastructures mais présente l’avantage d’assurer une traçabilité sans faille entre l’extérieur et l’intérieur des bâtiments, cette géolocalisation sans couture, (urbi et orbi) étant réalisée par les serveurs qui combinent l’interprétation des données issues des deux technologies. Ainsi, les secteurs qui pourraient initier le marché seraient les hubs de logistique qui accueillent des produits de forte valeur ou bien la santé, le handicap ou encore le tourisme et les établissements qui reçoivent le public. La technologie la plus prometteuse dans ce domaine est assurément la technologie basée sur le bluetooth4 low energy, et ceci pour plusieurs raisons, la première étant le faible impact environnemental (très peu de pollution électromagnétique), mais aussi la précision remarquable obtenue (+ ou – 50 cm), et la compatibilité envisageable avec l’ensemble des téléphones portables récents.
Alors va-t-on assister avec l’outdoor, au même schéma de déploiement poussif observé pendant les 15 dernières années, ou au contraire être les témoins d’une explosion à la manière des téléphones portables ?
Espérons, en tout cas, que le indoor n’attire pas les « sans vergogne » comme a pu le faire l’outdoor…

Le transporteur Labo Express et Geoloc Systems, éditeur spécialisé dans la gestion des flottes automobiles, ont associé leur savoir-faire pour concevoir un logiciel inédit dans le domaine du transport médical. Nous vous invitons à découvrir LaboManager en avant-première en partageant le quotidien de la société de transport de produits sanguins le temps d’un après-midi. Temps réel, traçabilité, capteurs sans contact NFC : LaboManager est un concentré de technologies pour un univers très sensible.

Aucun traitement, ni médicament de synthèse ne peut se substituer aux produits sanguins. Irremplaçables et vitaux. Ils sont indiqués dans des situations d’urgence et des besoins chroniques et concernent des patients que seule une transfusion sanguine peut contribuer à guérir ou à soulager. De la collecte du sang à son transport vers les patients, c’est toute une logistique qui s’organise à grande échelle, partout en France, dans une atmosphère d’urgence continue… Pendant 2 ans, c’est devenu le terrain d’expérimentation de Geoloc Systems, éditeur spécialisé dans la gestion de la mobilité, pour développer un progiciel qui sauvera des vies : un concentré de technologies dédiées au monde du transport d’urgence à découvrir sur le terrain, le jeudi 21 mars 2013.

Voyage de presse, jeudi 21 mars 2013

Yvelines (78)

de 13 h 30 à 17 h 30

Inscription auprès de l’Agence C3M – 01 47 34 01 15

Au programme … Suivez en temps réel, en copilote, la course du Sang

13 h 30 : Départ de la Porte Maillot, devant le Palais des Congrès (Métro L1 – RER C) jusqu’au Centre Médical du Chesnay, puis jusqu’à l’Etablissement Français du Sang.

Accueil et rencontres avec les porte-paroles.

16 h 00 : Arrivée au siège de Labo Express – 44, Ter Boulevard Saint Antoine, Le Chesnay (78). Démonstration de LaboManager par Serge GAUTIER, Gérant de Labo Express et Saïd KHAYAT, Responsable Développement de Geoloc Systems ; l’outil intègre géolocalisation, traçabilité, capteurs de températures NFC, gestion complète des appels et des clients, du CRM jusqu’à l’édition des rapports d’activité et de la facturation.

17 h 30 : Fin de la visite, retour sur la Porte Maillot

Opérant dans le secteur du transport médical, Labo Express est l’utilisateur-pilote du progiciel de Geoloc Systems, un outil complet de gestion d’activité allant de la prise de commande à la facturation. Un concentré de technologies intégrant la géolocalisation (localisation des véhicules en temps réel), l’optimisation des tournées (suivi des courses avec cartographie), et la NFC (Near Field Communication ou technologie de communication sans contact), une traçabilité sans contact des colis, pour une solution unique sur le marché.

Un environnement métier à fortes contraintes

Les sociétés de transport spécialisées qui livrent en express greffons, implants, vaccins, médicaments, poches de sangs… sont un maillon indispensable de la chaîne logistique de la santé.

Or, leur activité évolue dans un contexte à fortes contraintes : course contre la montre, garanties sanitaires, mais aussi exigences de traçabilité et de sécurité imposées par les clients et les laboratoires médicaux soumis à la certification Cofrac.

Leur système d’information doit désormais détailler les conditions de livraison et apporter un suivi des colis. L’informatisation de l’activité est donc un enjeu prédominant.

Un logiciel à la pointe du suivi sanitaire…

Avec sa trentaine de collaborateurs et une flotte de 19 véhicules légers et 4 motos, tous géolocalisés par les soins de Geoloc Systems, Labo Express effectue 40 000 transports par an, entre trajets urbains et urgences vitales.

Pour remplir ses missions dans les délais imposés, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, Labo Express a choisi de s’appuyer sur un outil d’optimisation, le progiciel métier développé par Geoloc Systems. LaboManager permet aujourd’hui à la PME de faire face à une croissance très rapide. C’est même devenu son atout concurrentiel majeur dans un secteur en phase de normalisation.

… pour gérer les tournées et intégrer les urgences

Car si ses voitures qui sillonnent les routes, gyrophares et sirènes allumés, ont à leur bord des produits médicaux vitaux qui doivent arriver de toute urgence, Labo Express gère aussi chaque jour des tournées plus prévisibles entre laboratoires et hôpitaux, et transporte tout simplement dans ce cas des prélèvements à analyser.

LaboManager améliore l’efficacité de l’entreprise au quotidien en gérant les courses depuis leur enregistrement par le dispatcheur jusqu’à la facturation en fin de mois.

« Pour nous, améliorer le transport, c’est souvent sauver des vies, en livrant les blocs opératoires plus vite pour permettre au corps médical d’intervenir dans des situations d’urgence et de crises quotidiennes », explique Serge Gautier, créateur de Labo Express, à l’initiative de ce projet informatique dans l’entreprise.

Des fonctionnalités spécifiques à la livraison de produits sensibles

LaboManager regroupe toutes les briques techniques nécessaires à la gestion de l’activité : géolocalisation, messagerie, éditeur de rapports, planificateur d’entretien des véhicules… Le logiciel couvre toutes les étapes des missions :

La saisie des courses en ligne après réception de la commande client par téléphone,

La messagerie (envoi automatique de la mission et des informations utiles) vers le smartphone du chauffeur le plus proche

La traçabilité en temps réel de chaque véhicule de la flotte

Le reporting client et la facturation.

L’outil intègre aussi le relevé des émissions de CO2 par véhicule, qui nourrit les Bilans Carbone des clients dressés en fin d’année.

Et enfin, il est relié à une solution NFC pour suivre les colis transportés.

Cette plateforme est désormais au centre de la communication entre les hôpitaux, les laboratoires et la société de course : les clients bénéficient d’un accès Web (extranet) à la plateforme leur permettant de consulter un ensemble de rapports en temps réel.

« L’outil de Geoloc Systems nous a permis de faire des ajustements contractuels avec nos clients, en renégociant les tarifs de nos prestations car nous nous sommes aperçus que le kilométrage dépassait parfois les engagements initiaux. Des avenants ont donc été signés, ce qui nous a permis de gagner 10 000 euros par an », explique Serge Gautier, gérant de Labo Express.

Les solutions innovantes de gestion de missions et de traçabilité de GEOLOC SYSTEMS, accompagnent les acteurs du transport médical d’urgence. Sur le Congrès de la Chambre Nationale des Services d’Ambulances, Geoloc Systems, présentera sa solution LaboManager, dédiée à la filière Transport Sanitaire.

Les 4, 5 et 6 octobre Les Pyramides, 16 avenue de Saint Germain – 78560 Port Marly

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Geoloc Systems, au cœur du suivi « Sanitaire »

Geoloc Systems sera présent au 59ème Congrès de la Chambre Nationale des Services d’Ambulances, événement incontournable dans le domaine du Transport Sanitaire. L’entreprise dévoilera à cette occasion son progiciel métier : LaboManager ainsi qu’un ensemble de technologies et de savoir-faire dédié au transport urgent, de patients et de prélèvements et d’organes.

Dans un contexte soumis à fortes contraintes – transport contre la montre, exigences de traçabilité et de sécurité imposées par la certification Cofrac -, les systèmes d’information de toute la filière du transport sanitaire doivent désormais évolués pour être capable d’enregistrer et de transmettre tous les paramètres lors du transport en temps quasi-réel (température, traçabilité…). « L’informatisation de l’activité est donc un enjeu prédominant », explique Said Khayat, Responsable Développement de Geoloc Systems.